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sexta-feira, 9 de outubro de 2009

1853
25 de Abril
COMPTE RENDU DES SEANCES DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
Janvier-Juin
T. XXXVI
Nº. 17
Pag. 740

M. DE JUSSIEU met sous les yeux de l’Académie la première livraison d’une série iconographique dont les essais avaient eté déjà présentés dans deux séances précédentes, et qui a pour titre : Photographie zoographique, ou Représentationon des animaux rares des collections du Muséum d’Histoire naturelle, par L. Rousseau et A. Devéria; procédé de Lemercier et Bisson frères.
Une Commission, composée de MM. Isid. Geoffroy, Milne Edwards, Regnault et Valenciennes, est invitée à faire un Rapport sur ce travail et sur le degré d’utilité qu’il peut avoir pour l’étude de l’histoire naturelle.

terça-feira, 29 de setembro de 2009

1853
21 de Novembro
COMPTE RENDU DES SEANCES DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
Juillet-Décembre
T. XXXVII
Nº. 21
Pag. 787
CORRESPONDANCE
M. MILNE EDWARDS met sous les yeux de l’Académie, au nom de M. Rousseau, une nouvelle livraison de la « Photographie zoologique », figures sur planches d’acier obtenues par le procédé de M. Niepce de Saint-Victor.
1853
19 de Dezembro
COMPTE RENDU DES SEANCES DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
Juillet-Décembre
T. XXXVII
Nº. 25
Pag. 957
CORRESPONDANCEM

M. MILNE EDWARDS place sous les yeux de l’Académie une nouvelle série de planches zoologiques faites par MM Rousseau et Dévéria par le procédé de M. Niepce de Saint-Victor pour la gravure par l’action de la lumière. Cette application de la photographie fait de grands progrés, et M. Milne Edwards pense que, dans l’intérêt de la zoologie, il serait utile de donner plus de développement aux essais de M. Rousseau.
MM. Geoffroy-Saint-Hilaire et Dumas se joignent à M. Milne Edwards pour appeler sur ce point l’attention de l’Académie.
(Renvoi à la Commission administrative.)

sexta-feira, 25 de setembro de 2009

1854
16 de Janeiro
COMPTE RENDU DES SEANCES DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
Janvier-Juin
T. XXXVIII
Nº. 3
Pag. 93, 94

M. MANTE, photographe, adresse une réclamation relative à la présentation qui a été faite, dans la séance du 19 décembre dernier, d’une nouvelle série de planches photographiques représentant des objets d’histoire naturelle, publiées par MM. Rousseau et Deveria.Une portion de la réclamation porte sur les termes dans lesquels cette présentation a été mentionnée par un journal consacré à la photographie (la Lumière), et l’Académie n’a pas à s’occuper de ce point; mais le Compte rendu indique les planches en question comme obtenues par le procédé de M. Niepce de Saint-Victor: M. Mante déclare que ces épreuves, exécutées dans ses ateliers, sont obtenues par un procédé qu’il a découvert par suite de recherches qui lui sont communes avec MM. Riffaut et Pernel.
Il ajoute, à l’appui de cette assertion, que les planches présentées sont signées de son nom et de celui de M. Riffault.
« A l’occasion cette réclamation de, M. MILNE EDWARDS prend la parole et dit qu’il ne connaît pas l’article du journal la Lumière dont l’auteur de la Lettre parle, mais que celui-ci ne lui paraît pas avoir été bien renseigné au sujet de l’indemnité accordée à M. Rousseau. Le Rapport fait, il y a quelques mois, par une Commission dont M. Milne Edwards était l’organe, avait pour objet un ouvrage de MM. Rousseau et Deveria obtenu par la photographie ordinaire, et ne porte pas sur la série de gravures photographiques publiée plus récemment par les mêmes auteurs et exécutée par le procédé inventé par M. Niepce de Saint-Victor. En présentant à l’Académie, dans la séance du 19 décembre, une des livraisons de ce dernier ouvrage, M. Milne Edwards a eu soiu de rappeler que le mérite de cette invention appartient à M. Niepce, et il regrette qu’aucun des prix dont l’Académie dispose ne Soit applicable à une découverte de ce genre, car le service rendu par M. Niepce lui paraît digne d’une récompense éclatante. Quant à l’indemnité pécuniaire qu’ila demandée dernièrement pour M. Rousseau, elle était destinée, non pas à récompenser une invention qui n’appartient pas à ce naturaliste, mais à fournir à celui-ci les moyens de continuer des ,essais divers relatifs à l’application de la photographie a l’iconographie zoologique. Les résultats obtenus dans cette voie, soit par M. Rousseau lui-même, soit par d’autres personnes dont il s’était assuré le concours, et notamment par MM. Deveria, Bisson, Mante et Riffault, sont certainement fort remarquables, mais laissent encore heaucoap à désirer aux yeux du naturaliste; et c’est pour faire entreprendre de nouveaux essais et dans l’espoir d’obtenir de meilleurs résultats, que M. Milne Edwards et plusieurs autres Membres de l’Académie ont demandé à la Commission administrative de venir en aide à M. Rousseau, dont les travaux, entrepris dans l’intérêt de la science seulement, ont été pour celui-ci la cause de dépenses t.rès-considérables et n’auraient pu être continués sans un secours de ce genre. »
« M. CHEVREUL partage l’opinion que M. Milne Edwards vient d’exprimer. La Cominission administrative, à laquelle avait été renvoyée la proposition faite à l’Académie par les naturalistes appelés à juger l’utilité de la publication de M. Roussean, n’a voulu, conformément à l’opinion de ces naturalistes, qu’encourager cette publication dont l’auteur fait les frais. S’il eût été question de donner, non un encouragement, mais une récompense pour une invention, M. Chevreul aurait proposé de la donner à M. Niepce de Saint-Victor, qui, en développant le germe d’un art que l’on doit à son oncle, est l’auteur des progrès que l’Académie a constatés depuis les publications que M. Niepce de Saint-Victor a faites de la manière la plus généreuse, puisqu’il a publié toutes ses découvertes et notamment la manière de préparer l’excellent vernis dont j’ai communiqué, en son nom, la composition à l’Académie. M. Chevreul serait heureux si ceux de ses collègues qui sont plus que lui daus le cas d’apprécier les services que M. Niepce de Saint-Victor a rendus aux sciences naturelles, le jugeaient digne d’une récompense de l’Académie. »

quinta-feira, 30 de julho de 2009

1855, 18 de Junho
COMPTE RENDU DES SEANCES DE L'ACADEMIE DES SCIENCES

Janvier-Juin
T.XL Nº.25
Pag. 1316, 1317

ICONOGRAPHIE PROTOGRAPHIQUE. – M. VALENCIENNES présente à 1’Académiede nouveaux dessins photographiques faits par M. Louis Rousseau, et qui démontrent les progrès que ce zélé zoologiste fait faire à cet art en donnant les moyens d’appliquer ces procédés à la représentation des pièces anatomiques.Les anatomistes savent que les preparations des organes des animaux sans vertèbres, tels que les Insectes ou les Mollusques, ne peuvent se faire que sous l’eau. Ce liquide est d’un puissant secours pour l’anatomiste. On ne pouvait placer ces préparatious délicates dans un plan perpendiculaire à l’axe de l’instrument de Daguerre. Alors M. Rousseau a eu l’heureuse pensée de redresser la lunette daguerréotype verticalement au-dessus de la capsule remplie d’eau contenant la préparation anatomique.C’est ainsi qu’en prenant une préparation anatomiqne des ovaires d’un Ascaride, M. Rousseau a pu obtenir la représentation instantanée de ces pièces dans le dessin que j’ai l’honneur de montrer à l’Académie. C’est un progrés réel et nouveau de l’emploi de cet instrument, qui sera apprécié par les anatomistes. M. Rousseau a joint a ces deux exemplaires de l’anatomie de l’Ascaride deux autres photographies représentant une préparation des maxillaires supérieurs et inférieurs d’un enfant de six ans et quelques mois, montrant le travail de la nature au moment de la seconde dentition.Ces dessins donnent une nouvelle preuve de la constance des efforts de M. Rousseau et du succès qui les couronne.Je demanderai à M. le Président de vouloir bien renvoyer l’examen de ces nouveaux dessins à la Commission qui a été nommée pour examiner les premiers dessins de M. Rousseau.
(Renvoyé à la Commission déjà nommée, qui se compose de MM. IsidoreGeoffroy, Milne Edwards, Regnault, Valenciennes.)


M. GATEL demande l’ouverture d’un paquet cacheté dont l’Académie avait accepté le dépôt dans la séance du 26 février dernier. Ce paquer, ouvert en séance, renferme une Note intitulée : « Nouveau procédé photographique pour obtenir des négatifs sur verre au moyen de l’albumine. »

segunda-feira, 8 de junho de 2009

1855, 30 de Julho

Compte Rendu des Séances de L'Académie des Sciences
Juillet-Décembre
T. XLI
Nº. 5
Pag. 151, 152
*
Photographie appliquée aux sciences naturelles.
Communication de
M. A. Valenciennes

« J’ai l’honneur de mettre sous les yeux de l’Académie quatre nouveaux dessins photographiques faits au Muséum d’Histoire naturelle, par mon aide M. Louis Rousseau. Deux planches représentent les parties solides formées par des animaux de la classe des Polypes. L’un de ces corps est calcaire et a été nommé, par MM. Milne Edwards et Jules Haime, Stylaster flabelliformis; ce dessin est fait d’après l’exemplaire rapporté par Péron et Lesueur, et décrit par Lamarck comme une oculine. L’autre est un spongiaire entiérement siliceux des mers des Antilles et que je décris dans ma monographie des Éponges sous le nom d’lphition panicea.
« Deux autres dessins représentent des pièces importantes d’ostéologie comparée. C’est la dentition d’un lion de quinze mois et l’autre celle d’un lion de six mois: les maxillaires ont été ouverts pour montrer les dents de remplacement sous les dents de lait. Ces deux dessins sont remarquables par leur grandeur, car M. Rousseau a pu reproduire, à bien peu de différence près, la taille naturelle de ces os. L’éclat et la blancheur de cette photographie sont surtout très-remarquables. Aussi a-t-elle été très-appréciée par notre célèbre confrère M. R. Owen, qui assiste à la séance et qui m’a dit n’avoir pas encore vu d’aussi parfaites représentations de pièces anatomiques.
» C’est donc un nouveau service que M. Rousseau vient de rendre à la reproduction photographique des pièces d’anatomie, car je rappellerai qu’il a déjà obtenu des résultats très-importants lorsqu’il a trouvé le moyen, trés-simple cependant, de placer son instrument de manière à photographier des préparations de parties molles conservées sous l’eau, telles sont ces anatomies d’Ascaride que j’ai présentées à l’Académie.
Les figures sont renvoyées à l’examen de la Commission déja nommée pour les travaux de M. Rousseau, concernant l’application de la photographie aux sciences naturelles.