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domingo, 29 de agosto de 2010

1839, 20 de Março

1839

20 de Março

 

HIPPOLYTE BAYARD obtém as primeiras imagens positivas sobre papel. O seu processo só será publicado em 1840.

sábado, 19 de junho de 2010

COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

1839

28 de Outubro

COMPTES RENDUS  DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

T. IX

Nº. 17

Pag. 554

M. Bayard écrit relativement à un dispositif qu’il a imaginé pour rendre plus facile la reproduction, par les procédés photographiques, des images grossies ,des objets soumis au microscope solaire.

COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

1839

11 de  Novembro

COMPTES RENDUS  DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

Juillet-Décembre

T. IX

Nº.20

Pag. 610

L’Académie accepte le dépôt de trois paquets cachetés, adressés par :

M. Bayard (procédé de photographie sur papier);

………………

………………

JOURNAL DES BEAUX ARTS

1839

21 de  Novembro

JOURNAL DES BEAUX ARTS

Année 6 / Volume 2 / nº14

Pags. 209- 210

L'Académie royale des Beaux-Arts. —L'Héliographie.

 

Ainsi, l'Académie royale des Beaux-Arts va daigner se manifester au public ; ainsi, comme nous l'avons annoncé, elle va publier ses rapports. C'est un pas vers un système de travaux actifs et utiles qui, donnera à cette académie le rang qu'elle doit tenir et la sortira de sa peccable nullité, nullité si connue, que, dans tous les examens du daguerréotype, elle n'a pas même été consultée, quoique cet appareil intéressât si vivement les arts du dessin. Cet oubli a piqué ses membres, et tellement, qu'ils ont voulu avoir aussi leur invention photogénique. L'Académie des Sciences a adopté le daguerréotype; celle des Beaux-Arts protége l'héliographie. M. Bayard, employé d'une administration, a fait, hommage de cette dernière invention à l'Académie des Beaux-Arts qui, adoptant les conclusions de sa commission, semble mettre l'héliographie au dessus du daguerréotype. Avec l'héliographie, la lumière dessine sur un papier préparé; l'opération se fait dans la chambre obscure, en une demi-heure, facilement, sans les précautions incommodes et minutieuses du daguerréotype; cette opération peut être observée à chaque degré de sa formation, suivie dans son développement progressif; on peut l'arrêter au degré d'intensité que l'on veut par un lavage, les dessins sont inaltérables ; il suffit qu'ils ne soient pas exposés à l'effet direct d'une lumière trop vive; enfin, on peut, par ce procédé, reproduire des estampes mêmes. Celles obtenues par M. Bayard, il est vrai, sont faibles de ton; mais elles sont exactes, et l'on doit espérer un résultat entièrement satisfaisant. Les dessins héliographiques sont d'une exactitude positive, d'un aspect agréable. L'Académie n'a pas fait d'expériences, elle ne connaît pas le secret de l'auteur, mais les résultats qu'elle a vus lui semblent dignes d'une grande intention.

A côté de celte invention importante, plaçons-en une autre qui n'est que l'oeuvre de la mode et du caprice, …

quarta-feira, 9 de junho de 2010

COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

1840

24 de Fevereiro

COMPTES RENDUS  DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

Janvier-Juin

T. X

Nº. 8

Pag.  337

PHYSIQUE APPLIQUÉE. - Procédé pour obtenir sur papier des images photogéniques. - Lettre de M. Bayard.

 

« J’avais différé jusqu’à ce jour de rendre public le procédé photographique dont je suis l’auteur, voulant rendre auparavant ce procédé aussi parfait que possible, mais comme je n’ai pu empêcher qu’il n’en transpirât quelque chose, et qu’on pourrait ainsi, en profitant plus ou moins de mon travail, m’enlever l’honneur de la découverte, je ne crois pas devoir tarder plus long-temps à faire connaître la méthode qui m’a réussi.

» Le temps me manque pour entrer dans les détails nécessaires, mais si l’Académie veut bien me le permettre, je compléterai les renseignements dans une prochaine séance. Voici sommairement en quoi consiste mon procédé : Du papier à lettre ordinaire ayant été préparé suivant la méthode de M. Talbot, et noirci par l’influence de la lumière, je le fais tremper pendant quelques secondes dans une solution d’iodure de potassium, puis appliquant ce papier sur une ardoise, je le place dans le fond d’une chambre obscure. Lorsque le dessin est formé, je lave ce papier dans une solution d’hiposulfite de soude, et ensuite dans une eau pure et chaude, et je fais sécher à l’obscurité.»

segunda-feira, 17 de maio de 2010

COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

1840

16 de Março

COMPTES RENDUS  DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

Janvier-Juin

T. X

 Nº.

Pag. 478

PHYSIQUE APPLIQUÉE. - Note historique sur la Photographie.

 

« Le procédé indiqué par MM. Vérignon et Bayard ne diffère en rien de celui de M. Lassaigne, que M. Fyfe, de son côté; a imaginé et communiqué à la Société des Arts d'Édimbourg le I 7 avril 1839.

Tous deux ont, effectivement, employé le papier enduit de chlorure ou de phosphate d’argent, et trempé dans une solution d’iodure de potassium; tous deux ont conseillé de se servir du papier encore humide.

» Voici les expressions de M. Fyfe :

«  For this purpose the phosphate paper is first darkened by the action of light; it is then immersed in a solution of iodide oif potassium; and while still  moist, exposed to light, whith the object, the impression » of which is to be taken,  placed on it, and last till the whole of the paper exposed becomes yellow, etc. »

» M. Pyfe a fait des expériences avec le même papier; à la chambre noire; il a aussi employe le chlorure d’argent. Tous ces details sont puisés dans un Mémoire publié en juin 1839.

» Pour ce qui est de M. Lassaigne, son procédé communiqué par lui-même au rédacteur de l’Écho du Monde savant, est indiqué de la manière suivante, dans le no du 10 avril 1839 de ce journal :

« . . . . Alors M. Lassaigne a plongé son papier ( prépar’e au chlorure d’argent et noirci à la lumière) dans une solution d’iodure de potassium, et, après l’avoir essuyé légèrement avec du papier joseph, il i’a fixé au carreau d’une fenêtre, derrière une gravure, etc. »

segunda-feira, 29 de março de 2010

COMPTES RENDUS HEBDOMADAIRES DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

1841

8 de Fevereiro

COMPTES RENDUS  HEBDOMADAIRES DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES

Janvier-Juin

T. XII,

Nº.

Pag. 305-306

CORRESPONDANCE

PHYSIQUE APPLIQUÉE. - Question de priorite relative à la forrmation d’images photographiques sur papier qui étant peu ou point visibles au sortir de la chambre obscure, le deviennent subséquemment. – Lettre de M.Bayard

 

« Dans la dernière séance de l’Académie, M. Biot a lu une lettre de M. Talbot, dans laquelle ce physicien parle d’un moyen, qu’il ne fait pas connaître, de rendre visible une impression photographique qui est invisible lorsque le papier sort de la chambre obscure. Il y a déja longtemps que j’ai trouvé trois procédés qui conduisent à ce résultat. Permettez-moi, Monsieur, d’en faire connaître un, et, lorsque le temps m’aura permis de répéter les deux autres, j’aurai l’honneur de vous les communiquer.

» Un papier ayant été préparé avec le bromure de potassium, puis avec le nitrate d’argent, on l’expose encore humide et pendant quelques minutes au foyer d’une chambre obscure. Sur ce papier retiré et examiné a la lumière d’un bougie, on ne voit aucune trace de l’image qui cependant y est imprimée; pour la rendre apparente, il suffit d’exposer le papier à la vapeur, du mercure, comme on le fait pour les plaques dans le procedé de M. Daguerre. Il se colore aussitôt en noir partout ou la lumière a modifié la préparation. Il est inutile d’observer qu’il faut éviter autant que possible de laisser impressionner le papier prépare par aucune autre radiation lumineuse que par celle de la chambre obscure.

«  La description ci-dessus et une ou deux épreuves obtenues par ce procédé ont été adressées a l’Académie, qui, dans sa séance du 11novem-bre1839, a bien voulu en accepter le dépôt. Veuillez, je vous prie, Monsieur, faire ouvrir ce paquet, si vous le jugez à propos. »

Le paquet cacheté déposé par M. Bayard étant ouvert, se trouve contenir une épreuve photographique sur papier accompagnée de la note suivante. Uue autre épreuve était jointe à la Lettre.

Procédé photographique sur papier.

« L’image photographique ci-jointe a été obtenue le 24 octobre 1839 en dix-huit minutes, de onze heures du matin à onze heures dix-huit minutes, par le procédé suivant :

« Tremper le papier dans une faible solution de chlorure de sodium; lorsqu’il est bien sec, passer sur ce papier du nitrate d’argent dissous dans six fois son poids d’eau.

« Le papier étant presque sec et garanti de toute action de la lumière, l’exposer à l’émanation de l’iode, puis dans la chambre obscure, puis au mercure, comme dans le procédé de M. Daguerre, et enfin laver dans une solution d’hyposulfite de soude.

« Lorsque le papier est retiré de la chambre noire, on distingue à peine quelques traces de dessin; mais aussitôt que la vapeur mercurielle vient se condenser sur le papier, on voit les images se former comme sur les planches métalliques, avec cette diffërence que les images sont produites en sens contraire, comme dans le procédé de M. Talbot.

« Paris, le 8 novembre 1839. » 

 

Remarques de M. Biot à l’occasion de la Lettre précédente.

«  II paraîtrait y avoir cette différence essentielle entre le procédé d’ecrit par M. Bayard et l’annonce de M. Talbot, que M. Bayard présente comme condition que le papier qui a reçu sa préparation soit exposé, encore humide, à la radiation dans la chambre obscure; au lieu que M. Talbot dit que son papier conserve sa sensibilité même après plusieurs mois. A la vérité M. Talbot ne dit point si cette persistance ne serait pas plutôt une restitution qui s’opérerait en mouillant le papier; mais M. Bayard ne dit pas non plus qu’il aurait opéré une semblable restution de la sensibilité primitive. »

terça-feira, 1 de dezembro de 2009

Compte Rendu des Séances de L'Académie des Sciences

1846

14 de Dezembro

Compte Rendu des Séances de L'Académie des Sciences

T. XXIII

Nº. 24

Pag. 1118

M. Bayard adresse plusieurs exemplaires d’images photographiques sur papier, avec quelques-unes des épreuves négatives qui servent à obtenir les épreuves directes, chacune en pouvant donner un très-grand nombre.

M. Bayard dépose un  paquet cacheté.