1839 28 de Outubro | COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES T. IX Nº. 17 Pag. 539 | M. Arago met sous les yeux de l’Académie deux Images photographiques, représentant l’une la façade du Luxembourg, l’autre l’intérieur d’un cabinet de curiosités. Ces deux images qui, chacune dans leur genre, offrent un grand degré de perfection, ont été exécutées, la première par M. Soleil, opticien, l’autre par M. Hubert, architecte. |
- ACONTECIMENTOS - ANTOLOGIA – CRONOLOGIA – MISCELÂNIA - NOTÍCIAS - ... – SEC. XIX (Desde 1971, que tenho recolhido em diversas publicações e jornais de época, textos e informações diversas, de assuntos referentes à Fotografia, num período que limitei até ano de 1900,constituindo uma cronologia e antologia. Dada a enorme quantidade de informação que recolhi, este blog encontra-se em ainda organização.)
sábado, 19 de junho de 2010
COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
quarta-feira, 9 de junho de 2010
COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
1840 24 de Fevereiro | COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES Janvier-Juin T. X Nº. 8 pags. 339 | PHYSIQUE APPLIQUÉE. - Images photogéniques d'objets microscopiques.
M. Donné présente plusieurs de ces dessins, obtenus avec le microscope composé ordinaire, et met sous les yeux de l’Académie le petit appareil dont il se sert pour les produire. « Après avoir enlevé l’oculaire du microscope, je reçois, dit M. Donné, l’image de l’objet sur un petit écran transparent qui me sert à trouver le foyer: je substitue alors à l’écran une plaque iodurée, et quand la lumière a produit son impression sur cette plaque, je l’expose comme de coutume à la vapeur du mercure. » Je n’ai bien réussi dans ces expériences qu’en recevant la lumière directe du soleil sur le miroir réflecteur; la flamme d’une bonne lampe d’Argant n’a rien produit dans l’espace de deux heures et demie. « Le microscope-daguerréotype que je présente, dont je dois la première idée à M. Doyère, est exécuté en ce moment d’une manière régulière par M. Soleil, sur le modèle que j’ai donné à cet habile opticien. » |
COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
1840 2 de Março | COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES Janvier-Juin T. X Nº. Pags. 373, 374 | PHYSIQUE APPLIQUÉE. - Nouveau procédé d'application du mercure sur les dessins obtenus avec le daguerréotype; par M. Solei.
« L’application du mercure, telle qu’elle a été conseillée par M. Daguerre, présente, sans contredit, toutes les garanties desirables pour produire de belles épreuves, et je n’aurais pas cherché à proposer une autre méthode, si je ne m’étais trouvé entraîné à le faire, par suite de réclamations de plusieurs personnes qui ont cru reconnaître à l’emploi d’un métal liquide, des inconvénients parmi lesquels nous citerons les suivants: « La difficulté du transport du mercure liquide; la quantité nécessaire pour opérer, laquelle monte toujours à un kilogramme environ; le danger de la fracture du flacon où le métal est contenu; la facilité avec laquelle le thermomètre se brise par les chocs et la chaleur; la dissémination de globules imperceptibles de mercure qui pénètrent partout, s’attachent aux doigts de l’opérateur, sur la table où l’on polit, etc., et finissent par tacher les plaques de manière à entraîner la perte de plusieurs heures de travail, etc.; enfin l’impossibilité de remédier, clans certains cas, à plusieurs de ces accidents, comme par exemple la fracture du thermomètre. » Après plusieurs essais, je me suis arrêté au procédé qui suit: « Prenez argent précipité du nitrate par le cuivre. 1 partie; « Mercure distillé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 parties. » L’amalgame qui résulte de ce mélange est renfermé dans un flacon bouché à l’éméri. » Pour l’usage, on y plonge une petite spatule d’argent, qui retient assez d’amalgame pour servir à frotter légèrement un disque d’argent fin d’environ quatre centimètres de diamètre, et d’un millimètre d’épaisseur. » Ce disque, amalgamé dans l’étendue d’une pièce de cinquante centimes, est placé au fond de la boîte à mercure, qui, pour le recevoir, est légèrement embouti dans son milieu; ce fond est formé d’une plaque de tôle. » On dispose son épreuve comme à l’ordinaire, et l’on chauffe très légèrement le fond de la boîte, dans le lieu qui correspond au disque d’argent. « La mèche de la lampe doit être composée de trois à quatre brins de coton seulement, et la flamme doit se terminer à deux ou trois centimètres du fond de la boîte, afin que la chaleur se maintienne toujours peu élevée. » On chauffe ainsi jusqu’à ce que l’image paraisse: l’expérience m’a prouvé que la durée de l’opération n’est pas la même dans tous les cas; il est même telle épreuve qui demande à êtré passée plusieurs fois au mercure. J’ajouterai, en terminant cette Note, qu’il ne faut jamais tarder trop à passer au mercure la plaque, au sortir de la chambre noire. » |
quinta-feira, 29 de abril de 2010
COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
1840 25 de Maio | COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES Janvier-Juin T. X Nº. Pag. 842, 843 | DaGUERRÉOTyPE. – Procédè pour déterminer à l’avance la durée de l’exposition des épreuves à la chambre noire; par M. Soleil.
« Les changements de couleur que le chlorure d’argent éprouve par l’action de la lumière peuvent être mis a profit, pour fixer le temps nécessaire à la production des images photogéniques, puisque la même portion de la radiation donne naissance aux uns et aux autres. « Après un assez grand nombre de tâtonnements, je me suis arrêté à l’appareil dont voici la description : « On prend un tube de laiton, de 40 millimètres de longueur sur 25de diamètre; il est noirci intérieurement, ouvert à l’une de ses extrémités, et fermé a l’autre, par une plaque mobile, au-devant de laquelleon glisse une carte; sur cette carte, préalablement enduite de gomme ou de dextrine, on applique, avec une spatule, une couche d’environ un millimètre d’épaisseur de chlorue d’argent humide, que l’on conserve, pour cet usage, dans un flacon de verre enveloppé de papier noir. « On tourne le tube, ainsi disposé, du côté de l’objet dont on veut prendre l’image, et l’on compte le temps que le chlorure d’argent emploie à passer du blanc au gris-ardoise. Ce temps est égal a celui duraut lequel la plaque iodée doit être maintenue dans la chambre noire. « |