T. CXXVI
Nº. 21
Pag. 1500
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PHOTOGRAPHIE.- Amèlioration des clichés photographiques surexposès. Note de M. Mercier, présentée par M. Lippmann.
« On sait que les clicliés exposés trop longtemps à la chambre noire sont faibles et uniformément gris quand la surexposition est trop grande; on n'obtient plus que des traces d'image.
» Il suffit de plonger une plaque, même fortement surexposée, dans une dissolution d'émétique (2gr,5 dans 100gr d'eau) pendant environ deux minutes, de laisser sécher et de développer à l'hydroquinone pour obtenir une image vigoureuse. On sauvc ainsi des épreuves autrement inutilisables.
« Il est indifférent d'opérer sur la plaque avant ou après l'exposition.
« Les sels d'antimoine ou d'arsenic à oxyde organique jouissent de la même propriété. Il en est de même des sels de morphine et de codéine: ils donnent des clichés plus doux que l'émétique avec l'acide pyrogallique comme avec l'hydroquinone.
» Les réducteurs utilisés comme développateurs (amidol, métol, orthol, pyrogallol), employés à doscs extrêmêment faibles (1cgr dans 100gr d'eau) et préalablement oxydés par l'action de l'air, retardent la venue de l'image entière en cas de sous-exposition et favorisent la venue des grands noirs en cas de surexposilion; ils permettent d'obtenir des clichés purs et avec des contrastes vigoureux, alors que la pose a été excessivement prolongée.
« Employés après la pose, ils retardent la venue de l'image et lui donnent moins d'intensité.
« Ces mêmes réducteurs-développateurs non oxydés (l'amidol en particulier) avancent le développement à l'hydroquinone ou à l'acide pyrogallique. Ils augmentent l'intensité des noirs en conservant à l'image une grande pureté.
« Les diverses substances dont j'ai parlé agissent à condition qu'on ait laissé sécher sur la plaque. Mais il est inutile de les ajouter au développateur. «
PHOTOGRAPHIE.- Amèlioration des clichés photographiques surexposès. Note de M. Mercier, présentée par M. Lippmann.
« On sait que les clicliés exposés trop longtemps à la chambre noire sont faibles et uniformément gris quand la surexposition est trop grande; on n'obtient plus que des traces d'image.
» Il suffit de plonger une plaque, même fortement surexposée, dans une dissolution d'émétique (2gr,5 dans 100gr d'eau) pendant environ deux minutes, de laisser sécher et de développer à l'hydroquinone pour obtenir une image vigoureuse. On sauvc ainsi des épreuves autrement inutilisables.
« Il est indifférent d'opérer sur la plaque avant ou après l'exposition.
« Les sels d'antimoine ou d'arsenic à oxyde organique jouissent de la même propriété. Il en est de même des sels de morphine et de codéine: ils donnent des clichés plus doux que l'émétique avec l'acide pyrogallique comme avec l'hydroquinone.
» Les réducteurs utilisés comme développateurs (amidol, métol, orthol, pyrogallol), employés à doscs extrêmêment faibles (1cgr dans 100gr d'eau) et préalablement oxydés par l'action de l'air, retardent la venue de l'image entière en cas de sous-exposition et favorisent la venue des grands noirs en cas de surexposilion; ils permettent d'obtenir des clichés purs et avec des contrastes vigoureux, alors que la pose a été excessivement prolongée.
« Employés après la pose, ils retardent la venue de l'image et lui donnent moins d'intensité.
« Ces mêmes réducteurs-développateurs non oxydés (l'amidol en particulier) avancent le développement à l'hydroquinone ou à l'acide pyrogallique. Ils augmentent l'intensité des noirs en conservant à l'image une grande pureté.
« Les diverses substances dont j'ai parlé agissent à condition qu'on ait laissé sécher sur la plaque. Mais il est inutile de les ajouter au développateur. «
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